Bonjour Camille, est-ce que tu peux nous présenter ton parcours ?

Après Sciences Po Paris et 2 ans en Chine, j’ai commencé par développer le projet de Funky Veggie en parallèle de mes études (en 1e année de Master Communication, toujours à Sciences Po). Mes années à l’étranger m’avaient fait réaliser le rôle-clé de l’alimentation (notamment sur l’environnement et notre santé).
Aussi, nous serons plus de 9 milliards en 2050, et le système agro-alimentaire actuel doit évoluer pour subvenir à tous. Convaincue que nos petites actions mises bout-à-bout peuvent changer les choses, j’ai ainsi eu l’idée de Funky Veggie afin d’accompagner le mouvement vers une alimentation plus naturelle et végétale, meilleure pour soi et pour la planète.
J’ai co-fondé Funky Veggie avec Adrien Decastille, que j’ai rencontré à un “Start-up Week-end” : après 4 ans chez KPMG en audit puis 3 ans en start-up, Adrien voulait lui aussi créer du sens à travers un projet entrepreneurial.

Aujourd’hui tu es co-fondatrice de Funky Veggie, peux-tu nous expliquer ce que vous proposez ?


Chez Funky Veggie, notre mission est de démocratiser le “manger sain” et le végétal avec des produits plaisir, accessibles à tous. On propose donc des produits gourmands, 100% naturels et décalés en grande distribution. Par exemple, “la Boule”, “Cœur de Boule” et “l’apéro Boules” sont des snacks 100% naturels (sans sucre ajouté, sans colorant, sans additif, vegan… “Rien de bizarre à l’intérieur !”) et très gourmands, désormais présents dans plus de 1 000 points de vente en France : Franprix, Monoprix, Auchan, Carrefour, Starbucks, Nature & Découvertes…

De combien de personne est constituée votre équipe ?

 

On est une petite dizaine !

Comment définirais-tu ta relation avec les tous les salariés ?

Je fais de mon mieux pour qu’on ait une super ambiance, qu’on s’entende tous bien tout en faisant preuve de rigueur dans notre travail 🙂
Mon associé fait tourner Funky Veggie au quotidien tandis que je suis plus concentrée sur les idées à développer (j’en ai parfois des farfelues), la vision de la marque : du coup, je suis un peu la maman perchée de la team !

La qualité de vie au travail, qu’est-ce que cela évoque pour toi en tant que co-fondatrice ?


Se sentir bien dans son bureau et avec ses collègues, et avoir les meilleures conditions pour aimer travailler !

Selon toi un chef d’entreprise doit-il se préoccuper du bien-être de ses équipes ? Ou doit-il déléguer cette tâche à un manager spécialisé type Chief Happiness Officer ?


C’est au chef d’entreprise de s’en occuper à mes yeux, même s’il peut déléguer une partie des missions à une ou plusieurs personnes de l’équipe. Pour moi, tout le monde doit s’y impliquer !

La qualité de vie au travail est-elle selon toi corrélée à la productivité ?


OUI ! Même si l’idée est avant tout d’aimer travailler, d’aimer ce qu’on fait chaque jour, c’est clair que ça a un impact sur la qualité du travail.

Est-ce que tu as déjà mis certaines actions en place pour motiver/fédérer tes équipes ?


On fait souvent des activités team-building, tous les 2 mois environ. Et tous les lundis, on a le petit-déj de l’équipe, et on enchaîne avec un reporting et les objectifs de chacun pour la semaine à venir.

As-tu des conseils pour garantir une bonne cohésion dans ta team ?


Communiquer ! On a par exemple mis en place un truc sympa le lundi matin : chacun doit raconter 2 “kiffs” du week-end. Ça permet de mieux nous connaître et de partager les bons moments.

Est-ce que tes collaborateurs sont sensibilisés à la propreté et l’hygiène au bureau ?

Oui ! On fait souvent des tests cuisine et on a beaucoup de produits alimentaires, c’est donc essentiel.

Comment se passe le nettoyage de vos locaux ? On en parle peu mais le bien-être passe essentiellement par un lieu propre et sain !

Une personne de l’équipe Tidybear vient tous les vendredis. Sinon, on se charge des petites tâches quotidiennes. On a tout passé en “green” récemment : on fait nous-mêmes nos produits ménagers, c’est plus écolo et économique !

Le métier de Chief Happiness Officer est de plus en plus courant, si ton activité est amenée à évoluer et ton équipe à grandir, serait-il important pour toi d’en avoir un à vos côtés ?

Je ne pense pas ! Je préfère déléguer certaines tâches à des membres de l’équipe, car je pense que c’est l’affaire de tous.

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